Les blancs profonds, les turquoises légers et les verts phtalo vibrants tissent des paysages où les repères se dissolvent.
Tout devient fluide, mouvant, indéfini.
Chaque toile invite à s’oublier, à se laisser glisser dans l’infime.
Dans cet espace suspendu, il n’y a plus de frontière entre le visible et l’invisible, entre le monde intérieur et celui qui s’ouvre devant soi.
Créées dans une respiration libre, ces œuvres portent un fragment de ce passage —
une trace d’abandon doux, une lumière venue du dedans.